
Un cercle de pardon est une approche laïque, simple, puissante donnant l’occasion de faire œuvre de pardon vis-à-vis des autres et de vous-même, y compris par rapport à des personnes non présentes, sans avoir à évoquer devant autrui vos problématiques ou blessures personnelles.
Durant 2 à 3 heures les participants du cercle vont être invité à faire des exercices simple de rencontre et à participer au rituel du pardon qui se déroule en 4 étapes.
"Le pardon est un cadeau que l'on se fait à soi-même et pas forcément aux autres."

L’histoire des Cercles de Pardon.
Le pardon a croisé la route d’Olivier Clerc en 1999 lors d’un atelier au Mexique mené par Don Miguel Ruiz, auteur du best-seller « Les Quatre Accords Toltèques ». À cette occasion, Olivier Clerc a vécu une expérience de pardon bouleversante. Dix ans plus tard, à la demande de Don Miguel Ruiz, Olivier Clerc a relaté son expérience de pardon dans un livre intitulé « Le Don du Pardon » paru aux éditions Trédaniel. Plus tard, il a mis en forme un atelier de deux jours à vivre en groupe, appelé « Le Don du Pardon ». Avec une demande de plus en plus croissante ainsi qu’un nombre croissant de participants, les Cercles de Pardon ont été créés, rendant cette pratique plus accessible au plus grand nombre. Depuis, chaque année, plusieurs dizaines de nouveaux animateurs sont formés pour animer des cercles afin de transmettre cette approche du pardon.
Lien officiel vers le site des Cercles de Pardon :

Mon parcourt du pardon.
C'est tout à fait par hasard que j'ai vécu ma première expérience de pardon. Plus tard, je découvre les cercles de pardon et une association qui œuvre à l'étude et à la pratique du pardon. Après ma première expérience de pardon dans un cercle, je ressens le besoin de partager ce savoir et je décide donc de devenir animateur de cercle et de faire partie de l'association pardon international - API.

La pratique selon l'approche.
Dans cette approche nous demandons pardon plutôt que de pardonner. Mais alors, pourquoi je demanderais pardon alors que c’est moi qui ai souffert, c’est moi que l’on a blessé ?
Pour comprendre l’inversion, il est nécessaire de préciser deux choses :
- Je ne demande pas pardon pour ce que l’autre m’a fait : la responsabilité lui incombe entièrement ;
- Je demande pardon pour avoir utilisé les actes de l’autre pour cultiver de la haine et ainsi fermer mon cœur et de rester prisonnier du passé.